Photo 848205Monsieur Marcel AUBERT
Cher Marcel,

Depuis trois ans que l'on s'est connus, un peu moins que depuis que je suis avec Solène, j’ai eu la chance de vous connaître et de partager quelques moments précieux avec vous. Dès le début, vous m’avez accueilli avec cette bienveillance et cette générosité qui vous définissent si bien.

Je me souviens de vos 80 ans, l’année dernière, à la paroisse. On était tous présents, cachés, attendant votre arrivée. Quand vous êtes entré, avec Élise, sans vous douter de la surprise qui vous attendait, votre visage s’est illuminé. C’était un moment simple, mais rempli de joie, un instant qui montrait à quel point vous étiez aimé, non seulement par votre famille, mais aussi par votre communauté.

Votre humour restera inoubliable, avec vos petits jeux de mots qui nous faisaient tous sourire. Et surtout, votre générosité, votre capacité à donner sans compter. Pour vous, le bonheur de vos proches passait avant tout. Et votre foi, cette force tranquille qui vous guidait chaque jour, était une source d’inspiration pour beaucoup.

Partir le jour de votre anniversaire... Peut-être est-ce un signe, comme si le ciel vous appelait à rejoindre ceux qui, comme vous, donnent sans compter.

Merci pour tout ce que vous avez été, pour votre amour et votre bienveillance, pour les rires et la lumière que vous laissiez partout où vous passiez. Votre départ laisse un vide immense, mais vos valeurs, votre foi et votre esprit généreux continueront de vivre en chacun de nous.

Au revoir, Marcel. Vous serez toujours parmi nous.
Photo 848306Monsieur René COQUELIN
Je viens vois présenter mes plus sincères condoléances pour le deuil de René que j'ai eu le plaisir de connaître et dont je garde un excellent souvenir de sa bonne humeur. De tout cœur avec vous dans votre peine. Didier Corbé.
Photo 847824Monsieur FREDDY BALLIGAND
A toi mon grand frère, à travers cette hommage que je te fais , je tenais à te remercier d avoir tout donné et de n avoir rien lâcher tout au long de ta vie . Tu as toujours " fait ce que tu voulais quand tu voulais" . Malgré ta souffrance tu as réussi à rassembler la famille . À ton chevet pendant une semaine je t ai vu dans le combat à ne rien lâcher. Pour ma part , tu m as donné une belle leçon de vie , j imaginer pas instant que tu pouvait être aussi fort . Tu es un exemple . Tu restera mon modèle et crois moi je suis fier de toi . Nous avons pu discuter pendant la semaine ou j ai été présent avec et je t ai fait une promesse elle sera tenue .
Repose en fin en paix mon grand frère tu le mérites.
Je t aime pour l éternité
Photo 848408Madame Dolorès DEL RIZO-KIRINCIC
Avec toute ma sympathie, Lola une vraie belle personne . Courage à vous tous
Photo 848077Monsieur Christian LOULOUM
Toutes mes condoléances à la famille
Photo 848077Monsieur Christian LOULOUM
Au moment ou ce terrible evenement vous frappe
il est essentiel pour moi de vous assurer de mon soutien affectueux .
Photo 848377Monsieur Jean-François LUKOWIAK
Mon cher Luko, pas de mots pour dire mon désarroi et ma tristesse. Souvenir de notre classe de Français, 2ème secondaire à l'athenée provincial de La Louviere et un conte de Noël à inventer. Ma maman nous a un peu aidés avec cette histoire d'une araignée qui tisse sa toile autour d'un petit sapin esseulé et qui le fait luire de mille scintillements, nous avons eu la meilleure note tous les deux. Avant c'était la FEE qui chante puis , chaque fois, la joie de se retrouver près des tambours du carnaval. Je t'embrasse de tout mon cœur.
Photo 848233Monsieur Marc FRERES
C’est avec une grande tristesse que nous apprenons le décès de Monsieur
Marc Frères .
Confrère de grande qualité .
Nous présentons nos sincères condoléances à toute la famille.
.
Photo 846689Monsieur Dominique, Jean CAYE
Merci Dominique. Tu nous a aidé pour le parc des chevaux.. tout de bon à toi
Photo 848088Monsieur Léon VAN RYMENAM
Encore un ancien du RFC Seraing qui nous quitte. .Nous sommes tous en deuil du moins les quelques uns de cette glorieuse période. Repose en paix
cher Lèon.
Robert DESADELEER Gino DISTEPHANO Jean Cromps José Acencio Jean-MICHE Renaud HAYART etc.
Photo 848310Monsieur Jacques DUFOUR
Christian, Pascale , Françoise , c’est avec une grande émotion que je viens de voir le décès de votre papa , je vous présente mes plus sincères condoléances, ainsi qu’à tous ceux qui vous entourent. Petit enfants,et arrière petits-enfants. Je partage votre douleur car la perte d’un parent est toujours douloureux, surtout quand il s’agit d’un monsieur comme Jacques. Gentil, généreux, patient et bon.
triste de ne pouvoir venir vous témoigner mes condoléances, Mais sachez que je suis de tout cœur avec vous. Courage à la famille . Annick
Photo 847939Monsieur Jean DORMAL
Nous présentons nos condoléances et profond respect à toute la famille. Beaucoup de courage en ces moments difficiles.
Famille Marchoul-Conrad
Photo 847383Monsieur Michel GENDRY
Michel,

Tu a été l'initiateur de l'activité foot entre personnels de l’École Centrale de Lyon. Tu as toujours prôné le fair play et le respect, dans une atmosphère cool et détendu. Tu nous as manqué sur les terrains et dans les briefing d'après match ! Mais tu est toujours resté dans nos pensées.

En de hors de çà, on a souvent papoté sur des sujets divers, sur l'actualité. Tu étais toujours bienveillants, tu essayais de comprendre les gens plutôt que de les juger.

On a fait un match en ton honneur ce midi. Pour te rendre hommage, on a planté plein de buts avec ton style de renard des surfaces.

On ne t'oubliera pas !
Photo 847383Monsieur Michel GENDRY
Bonjour, je porte ici, non seulement mon hommage, mais aussi celui du laboratoire INL dans lequel Michel a œuvré et auquel il a tant apporté.

Bruno Masenelli Directeur de l’INL
Au nom de l’INL, et en mon nom propre, je peux dire la disparition de Michel a été un coup de tonnerre. Sa présence a été si forte, soi riche, qu’il est difficile de nous imaginer sans lui.
Michel a été un remarquable et talentueux chercheur. Il a été un « magicien » de l’épitaxie qui a rendu fier l’INL et le CNRS. La où d’autres pouvaient bloquer, lui entrevoyait une possibilité de croissance de matériaux, de nouvelles idées. Mais plus encore, il a su conjuguer et faire rimer son talent scientifique avec une attitude sereine, empathique, pleine d’humeur et de joie de vivre.
Il a été un pilier fondateur de l’INL, marquant notre laboratoire et sa communauté de recherche. « Son trou dans l’eau » n’est pas prêt de se refermer, comme chantait Brassens.
Il nous manquera.

Ségolène Callard, directrice adjointe de l'INL
" C'est avec une grande tristesse que j'ai appris la nouvelle. Je connaissais Michel depuis mes années d'élève ingénieure : la première fois que je l'avais rencontrée en 1992, c'était autour du sur le bâti du Rheed. J'avais adoré ce TP, je ne savais pas encore que j'allais faire ma thèse sur le réacteur PE-CVD ECR d'à côté ! J'ai aussi adoré le faire-part, et j'avoue, j'ai rigolé doucement : j'avais bien l'impression qu'il nous disait ces quelques mots. Voilà, j'envoie toute ma sympathie à sa famille et ses proches. Ségolène Callard, une collègue de plus 30 ans de l'INL.'
Photo 847383Monsieur Michel GENDRY
Guillaume St Girons
"La nouvelle du décès de Michel nous touche profondément. Nous n'oublierons pas les moments d'échange, toujours riches, exigeants, et conviviaux. A titre personnel, je garde en mémoire parmi de nombreux souvenirs de Michel l'une de nos premières rencontres, à Saint-Aygulf, lors de laquelle il m'avait souhaité la bienvenue au CNRS alors que je venais d'avoir mon poste. J'ai, sur le moment et tout au long des années qui ont suivi, grandement apprécié cet esprit de confraternité, dont je sais que qu'il était également apprécié de nombreux collègues."

Adrien CARRETERO.
Je tiens à exprimer mon immense gratitude et mon admiration à Michel. J'ai eu l'immense chance de partager trois formidables années au sein de son équipe de recherche à l'INL. J'ai également partagé de nombreux moments en dehors du laboratoire que je n'oublierai jamais. Je n'oublierai jamais son altruisme et sa volonté qui m'ont tant aidé à rejoindre le CNRS. Michel était une personne exceptionnelle, très appréciée de tous, toujours avec un sourire et une solution à tous les conflits et problèmes. Je me souviendrai toujours de nos matchs de foot à midi qu'il aimait tant. Merci Michel pour tout.

Guillaume Bachelet
Au nom de l’ancienne équipe « Hétéroépitaxie et Nanostructures » de l’INL, co-dirigée par Michel pendant de nombreuses années, et de la nouvelle équipe « Matériaux Fonctionnels et Nanostructures » que je co-dirige, nous adressons nos plus vives et sincères condoléances à tous ses proches. Michel a été très apprécié à l’INL, comme collègue, responsable d’équipe, directeur de thèse,… pour ses qualités humaines et scientifiques. Il savait rendre le travail de recherche de qualité avec ses exigences dans une atmosphère détendue et sympathique. L’équipe a hérité de sa « touche » particulière, qui rend le travail agréable et efficace ! Nous garderons cette atmosphère de travail, qu’il a su importer naturellement, aussi longtemps que possible dans l’équipe. Nous garderons en mémoire à nos côtés notre collègue Michel, jovial, travailleur et blagueur, pour mieux nous accompagner et nous surpasser dans nos tâches quotidiennes.

JB Goure
"Michel, mon collègue professionnel entre autres qui m'a initié au vide en relation avec Claude Santinelli, des très bons moments passé avec TOI (pastis et rillettes) les soirs après les manips, une amitié s'est créée au fil du temps, je ne t'oublierai jamais et surtout repose en paix" JB

José Penuelas
"Michel était plus qu'un collègue pour moi, j'ai beaucoup appris à ces cotés."
Photo 847383Monsieur Michel GENDRY
Hai Son Nguyen
Cher Michel, ton humour éternel et ta jeunesse d’esprit resteront gravés dans nos mémoires. Les discussions sur le foot et les pauses "klub" devant le F7 avec les collègues fumeurs étaient des moments précieux de camaraderie et de partage. Merci pour ces instants et pour ta présence unique. Tu vas nous manquer.

Patrick Pittet
"Ce vendredi 8 novembre 2024 à 16h30, je ne pourrai pas être vos côtés pour accompagner Michel dans son dernier voyage mais je prendrai un temps de recueil au laboratoire pour être par la pensée avec vous.
        Ce sera l'occasion pour moi qui ne travaillais pas directement avec Michel, de me remémorer un collègue que j'appréciais, qui faisait de la science sérieuse avec beaucoup de bonne humeur et avec qui, j'ai partagé des nombreux moments conviviaux à l'INL comme à Sherbrooke. Michel était là comme moi au début de l'INL et je suis sûr que sa mémoire et sa joie de vivre accompagneront encore pour très longtemps, la vie de notre laboratoire.
Je vous adresse à vous ses proches, mes sincères condoléances et l'expression de ma profonde sympathie.

Emmanuel Drouard
Je garde en souvenir ma collaboration dans un projet qu'il menait avec une grande ouverture d'esprit. Au-delà de cette expérience, je n’oublierai pas son sens aigu de l’intérêt commun, sa bienveillance naturelle, et sa bonne humeur communicative. Mes sincères condoléances à ses proches.

Jean-Louis LECLERCQ
C'est avec une très grande affection que j'ai appris le départ de Michel. Après l'avoir découvert brièvement à Montpellier en 1987, je l'ai rejoint quelques années plus tard à Lyon pour un parcours de plus de 30 ans.
Durant toutes ces années 'pro' j'ai pu apprécier une personne passionnée dans son travail mais tout aussi ouverte vers les autres. Jovial, aimant partager, bon vivant, les moments ensemble furent toujours conviviaux.
J'aurais aimé lever encore une fois le verre de l'amitié avec lui et son sourire, ce n'est donc que partie remise lorsque comme le dit l'adage je le rejoindrai 'la-haut'. Salut El Presidente !
Sincères condoléances à sa famille et ses proches

Guy Hollinger, ancien directeur du LEOM et de l’INL.
C’est avec une grande tristesse que je viens d’apprendre le décès de mon ancien collègue de l’Ecole Centrale de Lyon, Michel Gendry. La vie est cruelle.
C’est au cours de sa thèse à Montpellier, dans les années 1986-1987, que j’ai connu Michel Gendry, lorsque nous avons commencé alors à collaborer, à Lyon, dans le domaine de la passivation et de la photoémission.
Ses grandes qualités nous ont conduits, Pierre Viktorovitch, le directeur du Laboratoire d’Electronique de l’Ecole Centrale d’alors et moi-même, à recruter Michel comme chargé de recherche au CNRS.
Depuis son intégration au CNRS en 1988 jusqu’à son départ à la retraite, Michel a accompagné la montée en puissance de l’activité "Matériaux" de notre Laboratoire (le LEOM puis l’INL), dans le domaine de la passivation des semiconducteurs III-V d’abord, puis dans celui de l’épitaxie de couches minces et de nanostructures de semiconducteurs. Michel a rapidement codirigé l’équipe "Matériaux", avec moi, avant qu’il continue à le faire ensuite avec Guillaume Saint-Girons. Ses contributions scientifiques pendant toutes ces années ont été essentielles.
Par sa bonne humeur, sa joie de vivre, Michel Gendry a aussi toujours contribué à créer et à maintenir un bon état d’esprit au sein de son équipe et du Laboratoire. Ses doctorants l’ont toujours beaucoup apprécié, comme encadrant scientifique mais aussi comme sympathique animateur de sorties en dehors du Laboratoire.
En plus d’être un excellent collègue de travail, Michel a été pour moi un compagnon de tous les jours tout au long de ces 25 années passées à l’Ecole Centrale de Lyon. Je me souviens encore de nos parties de tennis acharnées avant que le virus du foot ne le reprenne…..
Toutes mes pensées vont à son épouse Isabelle et à ses deux garçons.
Photo 847383Monsieur Michel GENDRY
Gérard Guillot ancien directeur du LPM et ancien directeur adjoint de l"INL
A Michel, un des piliers scientifiques des débuts de l'INL.Le temps passe,les souvenirs restent..Toutes mes pensées à son épouse et à ses deux fils.

Georges Bremond
Michel était un véritable compagnon pour les personnes qui l ont accompagnés dans ses activités de recherche. Il a été une figure forte de la construction de l INL, en tant que chercheur de base. Nous sommes très affligés par sa disparition. Toutes mes condoléances à sa famille. Nous penserons à lui.

Magali Phaner
" Il est difficile de parler en quelques mots d’une personne que l’on a côtoyée pendant plusieurs années. Le souvenir que je veux garder de lui est son sourire : celui du jeune chercheur rencontré il y a 35 ans lorsque j'ai commencé ma thèse mais aussi celui du chercheur aguerri qui fêtait avec de très bonnes bouteilles sa retraite quelques années plus tard. Bien qu'il soit très reconnu scientifiquement dans son domaine, il ne se prenait pas trop au sérieux, je le revois en short dans les couloirs au retour du foot du vendredi, il apportait une joie de vivre communicative. Son départ est un choc et c'est avec une grande tristesse que je présente mes condoléances à toute sa famille "
        

Christian Seassal
J'ai rencontré Michel pour la première fois il y a trente ans, alors que je commençais ma thèse. Les matériaux qu'il fabriquait étaient une source importante pour mon travail. J'ai tout de suite vu en lui quelqu'un de particulièrement ouvert, désireux d'oeuvrer pour le collectif, et avec qui on peut vraiment échanger d'égal à égal. Je me souviens de sa volonté d'aider le jeune doctorant que j'étais grâce à son savoir faire exceptionnel en matière de réalisation de couches minces aux propriétés si bien contrôlées. Nous n'étions pas dans la même équipe, mais depuis, Michel est resté un très précieux compagnon ; j'ai eu la chance de le côtoyer jusqu'à sa retraite. Je me souviens. Nous discutons de la dégradation des conditions de la recherche, nous pestons contre les mesures gouvernementales. Nous jouons aux cartes une soirée à Chantilly après des journées scientifiques. Nous débattons sur ce qui est beau et ce qui ne l'est pas à la Grande Motte lors d'autres journées scientifiques. Nous nous croisons par hasard au Portugal, au coin d'une rue de Coimbra. Michel est et reste l'excellent camarade avec qui on partage de nombreuses valeurs humaines, une vision ouverte de la recherche et de la société et tant de moments précieux.

Christelle Yeromonahos
Michel, Je me souviens de ton soutien précieux, sans faille et toujours constructif, lors de mon post doctorat dans ton équipe et de tout le temps que tu as passé à m'aider à construire des projets pour les concours de Maître de Conférences. Toutes mes pensées vont à ta famille et en particulier à ton fils dont tu parlais souvent.

Michel, merci de m’avoir donné d’explorer de concert avec toi nombre de territoires scientifiques, riches de paysages inattendus, durant de si nombreuses années. Ton arrivée à l’Ecole Centrale de Lyon, où j’ai eu le privilège de t’accueillir, a été un évènement déterminant dans mon propre parcours scientifique, que tu as irrigué de tes compétences remarquables en science des matériaux.
Je n’oublierai jamais l’atmosphère de nos échanges, rendue chaleureuse par l’authenticité de ton sourire.
Je souhaite que mon témoignage contribue à perpétuer ta mémoire vivante parmi nous, bien au-delà de ma propre existence.
Mon amitié pour toujours.

Pierre Viktorovitch
Madame Maria CARRETTA
maman deja un an que tu nous a quitte emportee par cette maladie,malgre ton caractere battant cette maladie a gagnee.Tu me manque tellement .Tu es et tu resteras a jamais dans mon coeur.Je t aime maman
Photo 847078Monsieur Médéric ROBERT
Médé...
En ce triste jour d'aurevoir, je prends ma plume pour te balancer quelques pensées.
Rien à comparer avec les rimes d'MC Solaar..J'assume!
Je me joins au chagrin de tes proches et te fais un hommage pas très loin de la plage.
J'aurais aimé t'accompagner pour ces derniers instants, mais le vent en a décidé autrement.
Et puis, maintenant tu es là, ici et partout autour de nous.

Plus de toi dans 7 ans
Pour nous rappeler que la vie passe
Et que ça aurait fait 20 ans

Visite de Gogo à Munich
Un long WE chez les casques à pointe
Pour boire des pintes
Manger du gras et du pu'
Arrêt Burger King - whopper Obligé
Rigoler, tellement rigoler

Médé Forever
On n'attendra plus jamais les surfers
Plus de pu' et de co' pu' pu'
Mais à jamais dans nos coeurs

Fini ce bon vieux rire qui faisait rire
Fini tes conneries postées sur FB
Qui mettaient un peu de légèreté
Dans nos rythmes effreinés
Plus de toi physiquement parmi nous
Mais ton souvenir dans nos coeurs à jamais gravé

Encore jeune ou déjà vieux
Tel était déjà la question
A l'ocassion de tes 35 ans
Ça ne fait que 11 ans

Mais aussi, selon ta célèbre maxime
Pas de regrets
Que de projets

Quelque chose me dit
que là où tu es parti les Gr's sont plus verts

A ton dernier voyage
Ils en ont de la chance là-haut

Merci l'ami Médé
Pour tout ce que tu nous as apporté
Tu récoltes aujourd'hui tout l'amour que tu as semé

Biz au chat
Amitiés
Repose en paix tu l'as mérité

Gigi
Photo 846614Madame Irène MULHAUPT nacida SOLEYMIEUX
Mama , enfin le bon dieu t'a permis de le rejoindre après 3 années de souffrance. Vero t'attends et toutes les deux vous allez pouvoir vous marrer , comme à plourhan !!
Bisous.
Ton vava
Photo 847551Madame Louise BOEUR
Nous prenons part à votre peine et présentons a toute la famille nos sincères condoléances. Courage a vous. Michel et Jacqueline Hansen gueben
Photo 847456Monsieur Philippe Remacle
Monsieur Remacle,

Ce samedi, je devais tourner un court métrage. Je l’ai écrit, je l’ai préparé, et je m’apprêtais à le tourner. Je n’ai pas forcément pensé à vous pendant que je préparais ce tournage. Et pourtant, vous étiez là, à chaque instant. Chaque fois qu’une nouvelle lubie artistique me venait en tête, vous étiez là. Parce que oui, des lubies artistiques, je les accumule depuis un moment. C’en est même devenu mon métier, d’imaginer des trucs un peu fou, de partager mes idées à mes proches, de les voir lever les yeux au ciel, et puis de les faire malgré tout. Oui, je suis aujourd’hui comédien, metteur en scène et puis apparemment, depuis ce samedi, je suis aussi réalisateur. Bon, chacun ses choix. C’est vrai que ce sont les miens après tout. Mais ça ne m’est pas venu du jours au lendemain. Et si vous m’aviez vu à treize ans, vous vous seriez dit que ça ne devait jamais venir. Et pourtant, je suis bien là. Comme un imbécile à passer des heures et des heures de travail pour ensuite faire l’imbécile devant des gens. Cette dépendance à la force des mots, à l’amour de l’art, à la création tout simplement, je vous la dois entièrement. Si j’ai un jours rêvé de vivre de ma passion, vous m’avez donné toutes les clefs pour y arriver. À treize ans, j’étais timide, renfermé, pas sûr de moi et aujourd’hui,... bon je suis toujours timide, renfermé et pas sûr de moi, mais par contre, cet amour de l’art, je ne l’avais pas et personne ne me l’a mieux transmis que vous. J’avais si peur de parler à plus de trois personnes, et vous, vous m’avez obligé à parler devant des dizaines des camarades de classe, des milliers dans ma tête. Qui pourrait croire que parler devant des gens, ça pouvait être amusant ? Pire, que ça pouvait vous libérer. Jouer, c’est devenir libre. Écrire, c’est se libérer et libérer les autres. Vous avez passé des heures à écrire des textes, juste pour nous, vous avez perdu des heures à nous regarder massacrer ce même texte, gratuitement, en dehors de vos heures de cours, sans grimacer, mais au contraire en nous faisant évoluer, en nous donnant vos conseils. Vous avez monté chaque année vos projets théâtraux. Chaque année une nouvelle pièce. Et avec quelle plume, quel talent. Comment est-ce possible que ce talent n’aie pas émergé bien au-delà des écoles ? Vous avez passé du temps pour nous, des centaines d’heures. Je le sais, j’écris moi-même pour des élèves aujourd’hui, je sais le temps que ça prend, vous ne pouvez plus me mentir, et je sais qu’on le fait pour rien, que vous l’avez fait pour nous, juste pour nous, comme je le fais aujourd’hui juste pour eux. Mes souvenirs de secondaire, c’est vous. Cosinus, sinus peut-être, mais parlez moi plutôt de « Comédienne » ou « la vieille » mon tout premier rôle,.. Ce n’est « que » du théâtre diraient certains. Des vieux cons si vous voulez mon avis. C’est du théâtre, oui et ce théâtre, c’est une fierté, c’est ma vie et c’était aussi la vôtre. Vous m’avez dit lors ma dernière pièce avec vous, lors de ma dernière année à Saint Roch, que je me souviendrai de mes secondaires par ces moments scéniques. Vous aviez à moitié raison. Je me souviens tout autant de mes années sur scène que je me souviens de vous. Saint Roch, c’était vous. Vous avez permis de faire de mon rêve une réalité. Vous avez toujours été là. Et aujourd’hui, alors que je devais tourner mon premier court métrage, vous êtes là. Près de moi. Vous m’avez libéré, comme tant d’autres avant moi, comme tant d’autres après moi. Alors de fait, vous vous êtes fait une place de choix dans mon cœur, dans mon esprit. Monsieur Remacle, vous êtes mon mentor et vous resterez mon mentor à tout jamais. Je ne crois pas à l’au-delà, je ne crois donc pas que votre vie se prolonge dans un endroit avec des gens sur des nuages, et un mec barbu qui vous dit ce qui est bien ou est mal. Par contre, je crois qu’on ne cesse jamais d’exister tant qu’il y a une personne pour penser à vous. Vous étiez là hier, vous étiez là aujourd’hui pour mon t
Photo 847456Monsieur Philippe Remacle
Monsieur Remacle,
Ce samedi, je devais tourner un court métrage. Je l’ai écrit, et je m’apprêtais à le tourner. Je n’ai pas forcément pensé à vous pendant que je préparais ce tournage. Et pourtant, vous étiez là, à chaque instant. Chaque fois qu’une nouvelle lubie artistique me venait en tête, vous étiez là. Parce que oui, des lubies artistiques, je les accumule depuis un moment. C’en est même devenu mon métier, d’imaginer des trucs un peu fou, de partager mes idées à mes proches, de les voir lever les yeux au ciel, et puis de les faire malgré tout. Oui, je suis aujourd’hui comédien, metteur en scène et puis apparemment, réalisateur. Chacun ses choix. Ce sont les miens après tout. Mais ça ne m’est pas venu du jours au lendemain. Et si vous m’aviez vu à treize ans, vous vous seriez dit que ça ne devait jamais venir du tout. Et pourtant, je suis bien là, à écrire sans cesse de nouvelles choses. Cette dépendance à la force des mots, à l’amour de l’art, à la création tout simplement, je vous la dois entièrement. Si j’ai un jours rêvé de vivre de ma passion, vous m’avez donné toutes les clefs pour y arriver. À treize ans, j’étais timide, renfermé, pas sûr de moi et aujourd’hui,... bon je suis toujours timide, renfermé et pas sûr de moi, mais par contre, cet amour de l’art, je ne l’avais pas et personne ne me l’a mieux transmis que vous. J’avais si peur de parler à plus de trois personnes, et vous, vous m’avez obligé à parler devant des dizaines des camarades de classe, des milliers dans ma tête. Qui pourrait croire que parler devant des gens, ça pouvait être amusant ? Pire, que ça pouvait vous libérer. Jouer, c’est devenir libre. Écrire, c’est se libérer et libérer les autres. Vous avez passé des heures à écrire des textes, juste pour nous, vous avez perdu des heures à nous regarder massacrer ce même texte, gratuitement, en dehors de vos heures de cours, sans grimacer, mais au contraire en nous donnant vos conseils. Vous avez monté chaque année vos projets théâtraux. Et avec quelle plume, quel talent. Comment est-ce possible que ce talent n’aie pas émergé bien au-delà des écoles ? Vous avez passé du temps pour nous, des centaines d’heures. Je le sais, j’écris moi-même pour des élèves aujourd’hui, je sais le temps que ça prend, et je sais qu’on le fait pour rien, que vous l’avez fait pour nous, juste pour nous, comme je le fais aujourd’hui juste pour eux. Mes souvenirs de secondaire, c’est vous. Cosinus, sinus peut-être, mais parlez moi plutôt de « Comédienne » ou « la vieille » mon tout premier rôle,.. Ce n’est « que » du théâtre diraient certains. Des vieux cons si vous voulez mon avis. C’est du théâtre, oui et ce théâtre, c’est une fierté, c’est ma vie et c’était aussi la vôtre. Vous m’avez dit lors ma dernière pièce avec vous, lors de ma dernière année à Saint Roch, que je me souviendrai de mes secondaires par ces moments scéniques. Vous aviez à moitié raison. Je me souviens tout autant de mes années sur scène que je me souviens de vous. Saint Roch, c’était vous. Vous avez permis de faire de mon rêve une réalité. Vous avez toujours été là. Et aujourd’hui, alors que je devais tourner mon premier court métrage, vous êtes là. Près de moi. Vous m’avez libéré, comme tant d’autres avant moi, comme tant d’autres après moi. Alors de fait, vous vous êtes fait une place de choix dans mon cœur, dans mon esprit. Monsieur Remacle, vous êtes mon mentor et vous resterez mon mentor à tout jamais. Je ne crois pas à l’au-delà, je ne crois donc pas que votre vie se prolonge dans un endroit avec des gens sur des nuages, et un mec barbu qui vous dit ce qui est bien ou est mal. Par contre, je crois qu’on ne cesse jamais d’exister tant qu’il y a une personne pour penser à vous. Vous étiez là hier, vous étiez là aujourd’hui pour mon tournage, et vous serez donc là demain, puisque demain, c’est montage, et que j’ai pas envie de me farcir ça tout seul.
Merci monsieur Remacle. Merci l’artiste. Merci l’homme. Merci, simplement.

Tintin Georges.

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