Photo 825451Madame Martine MOSCA born MAES
Toutes mes condoléances à toi et ta famille Kevin. Je vous souhaite beaucoup de courage et vous envoie tout mon soutien.
Véronique
Photo 825600Monsieur Jérémy TISSOT


Bonjour, il y a deux jours Claire m'a appris que Jérémy nous avait quitté. J'en suis encore sous le choque et n'imagine pas la douleur que vous, la famille vous endurez. Cela fait 2 jours que je me remémore les moments que nous avons passé ensemble. Pour me présenter je suis un de ses ami de fac, un de ses partenaires de révision, d'escalade, de gymnastique et surtout de judo. Malheureusement la vie fait que nous nous éloignons et perdons un peu des nouvelles mais ce n'est pas pour autant que mon amitié envers Jeremy à diminué. Si j'écris ce message c'est pour vous faire part de ce petit morceau de vie que j'ai pu partager avec lui, des journées affreusement longue de révision, nos rendez vous quotidien pour le café de 8h30, et nos soirées à la salle d'escalade. Jeremy était un personne très studieuse et très persévérante. Aujourd'hui encore lorsque je parle de ce sacré concours de prof de sport, j'ai toujours une pensée pour cet ami sans qui je n'aurai jamais réussi. Aujourd'hui si ma vie est ce qu'elle est c'est en grande partie grace à nôtre rencontre et nôtre amitié.
Je vous présente mes plus sincères condoléances.
Photo 825600Monsieur Jérémy TISSOT
Jerem,

Je peine à trouver les mots pour exprimer la douleur de ton départ. Notre amitié, née dans la même classe au lycée, a été une source inestimable de joie et de soutien. Tu étais mon binôme ; j’ai tellement d’anecdote que seul toi pourrais comprendre!
Les souvenirs de nos fous rires, de nos moments de complicité et de nos défis partagés resteront gravés à jamais dans mon cœur. Repose en paix, mon ami. Tu me manqueras terriblement.

Brice
Photo 826003Madame Véronique DETOEUF
Coucou maman c’est ta fille Cara je t’aime de tout mon cœur tu me manque énormément j’aimerai bien rigoler jouer te parler me confier tout sa me manque tu étais et tu restera mon pilier dans toute ma vie t la meilleure des maman je t’aime fait attention à toi la haut ❤️❤️
Photo 825777Madame Marie - Pierre JALADY born EYMAR
Poème Amérindien

Quand je ne serai plus là, lâchez-moi !
Laissez-moi partir
Car j'ai tellement de choses à faire et à voir !
Ne pleurez pas en pensant à moi !
Soyez reconnaissants pour les belles années
Pendant lesquelles je vous ai donné mon amour !
Vous ne pouvez que deviner
Le bonheur que vous m'avez apporté !
Je vous remercie pour l'amour que chacun m'a démontré !
Maintenant, il est temps pour moi de voyager seule.
Pendant un court moment vous pouvez avoir de la peine.
La confiance vous apportera réconfort et consolation.
Nous ne serons séparés que pour quelques temps !
Laissez les souvenirs apaiser votre douleur !
Je ne suis pas loin et la vie continue !
Si vous en avez besoin, appelez-moi et je viendrai !
Même si vous ne pouvez me voir ou me toucher, je sera là,
Et si vous écoutez votre cœur, vous sentirez clairement
La douceur de l'amour que j'apporterai !
Quand il sera temps pour vous de partir,
Je serai là pour vous accueillir,
N'allez pas sur ma tombe pour pleurer !
Je ne suis pas là, je ne dors pas !
Je suis les mille vents qui soufflent,
Je suis le scintillement des cristaux de neige,
Je suis la lumière qui traverse les champs de blé,
Je suis la douce pluie d'automne,
Je suis l'éveil des oiseaux dans le calme du matin,
Je suis l'étoile qui brille dans la nuit !
N'allez pas sur ma tombe pour pleurer
Je ne suis pas là, je ne suis pas morte.
Photo 385169Madame Frédérique VAN WASSENHOVEN
Malheureusement, je n’ai pas connu personnellement cette personne. Mais, il y a cependant une raison personnelle qui me pousse à croire que dans le passé, elle a dût etre une personne formidable. Je lui souhaite de reposer en paix.
Photo 385169Madame Frédérique VAN WASSENHOVEN
Malheureusement, je n’ai pas connu personnellement cette personne. Mais, cependant, une raison personnelle me pousse à croire que cette personne a dût être une personne formidable dans le passé. Je lui souhaite de reposer en paix.
Photo 825542Monsieur Mario LENAIN
Nous sommes attristés par l'annonce du départ de Mario.
Nous sommes de tout coeur avec Concetta, ses enfants et ses très chers petits-enfants.
Martine et Dominique SCHOLLAERT-KAURENT
Photo 825579Madame Marcelle JEANFILS
Je vous présente mes plus sincères condoléances
Photo 825542Monsieur Mario LENAIN
Nous présentons nos condoléances à toute la famille, j'ai fais toute ma carrière avec Mario à l hôpital de warquignies, puis au CHR Mons/Warquignies sur Mons.
Michel Brognez et son épouse.
Photo 825542Monsieur Mario LENAIN
Sincères condoléances à toute la famille
Photo 825310Monsieur Philippe HONNERT
Salut l ami! Tu etais un "homme des bois" au grand coeur, de convictions et fidele en amitié ! merci pour tout ce que tu nous as apporté ! Repose en paix et libre, les espaces immenses du monde de paix te sont ouverts !
Sincères condoléances aux tiens.
Photo 825414Madame Elisabeth CUVILLIER
Chère babeth, chère famille
Mon cœur accompagne le vôtre dans cette terrible épreuve. Mes prières vous sont dédiées. Soyez unis, soyez sûrs que les âmes se retrouvent toujours
Photo 824827Monsieur André FOURNIER
A - Avec ton air rieur
        N - Nul ne pourra t'oublier.
        D - Dans tous nos coeurs,
        R - Restera ton visage à jamais,
        E - Et que ton âme repose en Paix !
Photo 821814De heer Patrick Stevens
Mit Patrick habe ich gerne zusammen gearbeitet. Sein Erfindergeist gepaart mit großer Motivation war stets von Erfolg begleitet. Seine offene und direkte Art mit kernigem Humor habe ich geschätzt.
Viel zu früh.
Hilmar Brunow, Köln
Photo 823711Monsieur Jean PERRÉARD
Seu Jean era unanimidade. Impossível pensar alguém que tenha conhecido ele e não tenha se encantado. O que uma pessoa pode querer mais da vida do que viver quase 100 anos e deixar um legado desses né??? Só deixou lindas memórias e com certeza está levando dessa vida lindos momentos. Constituiu uma linda família e fez muitos amigos. Parabéns ao Seu Jean, viveu como se deve ser vivido. Que sigamos o seu exemplo 👏🏼👏🏼👏🏼
Photo 823711Monsieur Jean PERRÉARD
Oi Claire, mes sentiments pour papi Jean. Comme tout le monde a rapppelé dans les messages du groupe de la famille, il a eu une belle vie et laisse des beaux souvenirs pour nous tous. En ce moment Vô Bilau doit etre en train de preparer une capirinha et une dose de wisky, pour l’accueillir et pour qu’ils reprennent les discussions à propos du Sitio 🥰
Photo 823711Monsieur Jean PERRÉARD
Resta- nos a Fortuna de termos conhecido e convivido tantos anos, com uma Pessoa que nos deixou uma " linda imagem"... Algo como Alguém que deve nos servir de modelo .É difícil para todos imaginar a Família sem Ele. Que Deus o receba bem...Todos sentimos o.mesmo.
Photo 823711Monsieur Jean PERRÉARD
Monsieur Perréard était pour moi le père que j'aurais aimé avoir, toujours disponible et très accueillant, il s'intéressait à tout.
J'ai un excellent souvenir d'avoir été avec lui et Sophie à la fête de l'huma, il était déjà très âgé et j'étais étonnée qu'il soit encore intéressé par ce genre de manifestation.
Tous les hivers il partait au Brésil et cela me faisait rêver qu'un homme de son âge ose encore partir tous les ans passer l'hiver là bas. C'est quelqu'un dont je n'étais pas vraiment proche mais que j'admirais sincèrement.
Photo 823711Monsieur Jean PERRÉARD
Je suis au patchwork à Perros-Guirec mais ma pensée et mon coeur sont avec vous.
Des photos passent dans ma tête avec des moments passés avec Marie et Jean.
Je vous embrasse avec toute mon affection.
Photo 823711Monsieur Jean PERRÉARD
Coucou Claire François nous a informé du décès de Jean. C'est une triste nouvelle, bien qu'assez raisonnable compte tenu de son grand âge. Il aura survécu dix ans à sa sœurette et c'est un belle réussite sur ce point. C'est un soulagement de le savoir parti calmement et sans souffrance. Je vous présente, avec Brigitte, nos condoléances en vous souhaitant courage pour assumer cette perte. Jean restera pour moi le tonton le plus gentil quand j'étais gamin, que j'aimais retrouver les dimanches à la campagne en forêt, à Frépillon ou Hermenonville , aussi à Thiézac. J'étais très admiratif de ses capacités sportives dans les airs ou sur l'eau, et de son habileté de dessinateur et de constructeur, je pense à son cayac. Il avait aussi un soucis de la finition parfaite de ce qu'il entreprenait ,et pense avoir tenté d'en prendre exemple. Autre souvenir de gosse, j'ai en mémoire la première fois que je suis monté dans une voiture : sa 4 CV sur le périphérique, il avait atteint les 100 km/h, c'était incroyable ! On passait aussi de très belles journées à Puiseux où il nous laissait tirer à la carabine au fond du jardin, là aussi inoubliable ,ainsi que les cerises noires si délicieuses. Les récits de ses exploits de garnement quand , enfant , il faisait sauter en l'air les cierges pendant la messe , où quand il attachait à des paquets avec une ficelle et bâton coincé sous un grille dégoût me font encore bien rire. Bref c' était un homme simple, bon, avec beaucoup d'humour et d'amour pour ses neveux. Sa perte signe la fin de la génération précédente, et en celà aussi elle est tragique. Je ne pourrai pas être des vôtres pour les obsèques la semaine prochaine étant en voyage et chauffeur avec des amis. On pensera bien à vous. Grosses bises . Brigitte et Bernard Claire, pourrais tu transférer à Dominique, Sophie et Pierre. Merci.
Photo 823711Monsieur Jean PERRÉARD
Charlotte nous a appris hier soir que ton papa a quitté ce monde ....et nous pensons très fort à toi qui l'a tellement accompagné....un papa qui vous quitte c'est un gros choc, même quand on s'y attend ..tu vas avoir un immense vide mais tellement de beaux souvenirs...nous t'embrassons très fort.....il a rejoint ceux qui étaient partis avant lui ..du moins moi , je crois que notre énergie ne se perd pas
Photo 823711Monsieur Jean PERRÉARD
C est une bien triste nouvelle, chère Dominique et on s ' associe de tout coeur à ta peine. Papy Jean ne fêtera pas ses 100 ans.
        Justine nous disait souvent combien tu étais présente à ses côtés toutes ces années et combien ça devenait difficile pour lui malgré toutes vos gentillesses.
On garde le souvenir d'un charmant vieux monsieur qui nous avait tous conquis .
Sylvain et moi vous exprimons toute notre sympathie et notre amitié
Je t'embrasse fort
        Dominique
Justine était très fière d' être chargée pour Papy Jean de la gazette familiale.
Photo 823711Monsieur Jean PERRÉARD
« Nom de dieu, je n’arrive pas à croire que je n’arrive pas à crever! »
        Ces mots, prononcés par mon grand-père quand il a eu la Covid et pensait ne pas s’en sortir résument parfaitement qui il était : l'incarnation de l'autodérision.
Il ne cherchait pas à être drôle, mais sa façon de raconter les choses faisait souvent rire.
À chaque rencontre, il nous racontait souvent les mêmes histoires. Certaines pour nous inviter à la prudence, comme celle de son ami mordu au visage par son labrador.
D’autres parce qu'il les trouvait rigolotes ou mémorables, comme l’histoire du corbeau qui lui avait touché la tête pour le remercier pour le morceau de pain.
        Papi n'aimait pas se faire remarquer. Il détestait la foule et le bruit, préférant la discrétion et le calme. À table, il était souvent perdu dans ses pensées, réalisant de petites expériences avec ce qu'il trouvait dans son assiette, équilibrant des objets de manière improbable. Il avait le regard curieux et inventif d'un ingénieur, l'âme d'un scientifique un peu excentrique.
        C'était un contemplateur, un amoureux de la nature et des animaux. Il respectait tout le monde, sans jamais dire du mal de quiconque sauf peut-être des notaires et des chauffeurs de voitures rouges, qu'il qualifiait respectivement de truands et de " margoulins " !
Mon grand-père était adorable, mais pouvait aussi être très têtu et grognon. Sa détermination et son caractère bien trempé faisaient partie de son charme et le rendaient encore plus attachant. Pour nous, son calme, sa gentillesse et sa bonté étaient sa marque de fabrication. Tous ceux qui l'ont connu partagent cette même impression de sérénité et de bienveillance. Si nous le pleurons aujourd'hui, c'est parce qu'il nous a profondément marqués par sa douceur et sa sagesse.
Mon grand-père disait souvent qu'il ne voyait aucun intérêt à devenir centenaire et qu'il ne voulait pas fêter ses 100 ans. Fidèle à lui-même, il est parti à 99 ans et 6 mois, en cohérence avec ses convictions jusqu'à la fin.
Une page est en train de tourner, mais je suis heureuse d’avoir pu partager ces dernières années avec mon grand-père, le seul qui me restait.
Je suis particulièrement reconnaissante qu’il ait pu connaître mon fils Matteo, qu’il appelait chaleureusement « petit cheveux noirs » car il n’a jamais vraiment retenu son prénom.
Il faut aussi dire que notre famille brésilienne l’a en quelque sorte adopté comme un membre à part entière et ressent son départ tout autant que nous. Les souvenirs des moments passés au Brésil ont certainement contribué à sa longévité, puisqu’il y a passé tous les hivers pendant 20 ans, et y a été reçu avec beaucoup d’affection. Ces moments partagés là-bas étaient précieux et lui ont apporté beaucoup de joie et de sérénité.
Aujourd'hui, nous célébrons la vie d'un homme extraordinaire. Un homme qui, par son humour, sa discrétion et sa sagesse, a laissé une empreinte indélébile dans nos cœurs. Cher papi, tu nous as appris à voir le monde sous un jour différent. Tes histoires, et tes leçons de vie continueront de résonner en nous.
Ce matin, j’ai demandé à ma mère comment je devais m’habiller pour cette journée, car au Brésil on porte du noir pour les funérailles. Elle m’a répondu : « En France, c’est pareil. » Eh bien, j’ai décidé qu'aujourd'hui je mettrai du noir pour symboliser la tristesse, du blanc pour la tranquillité, la paix, le calme, car c’est la couleur qui représente le mieux papi, et du rose pour l’amour et la gratitude, car ce sont des sentiments que nous ressentons tous pour lui.
Enfin, comme tous les proches de papi, je voudrais remercier tout particulièrement Dominique pour son dévouement incessant. Merci pour tout ce que tu as fait pour lui durant toutes ces années.
Repose en paix mon petit Papi. Nous t'aimerons toujours et chérirons chaque souvenir partagé avec toi.
Cynthia Perréard / De Oliveira
Photo 823711Monsieur Jean PERRÉARD
Jean n’était pas que mon beau-père, il est aussi un ami.
Dominique m'a présenté Jean, Marie, Claire, Pierre et Sophie il y a 52 ans, depuis, nous avons partagé beaucoup choses ensemble.
Avec Jean et Marie, mais aussi avec Benjamin, nous avons voyagé au Mexique, au Belize et au Guatemala. Et c’est en sortant de la jungle guatémaltèque que nous avons frôlé la mort lors d’un grave accident de bus.
Nous avons aussi plusieurs fois voyagé ensemble au Brésil, terre de Godo, de Claire et de Cynthia et nous en avons presque fait le tour.

Lors d’un séjour dans le sud du Brésil, nous avons été invités au sítio, une petite ferme appartenant au père de Godo.
Jean et moi avons décidé d’explorer le versant peu accessible de la colline qui longeait l’autre rive du ruisseau. Nous avions bien affûté nos machettes pour avancer dans « la jungle » et nous étions prêts pour l’aventure.
À peine avions-nous franchi 200 mètres escarpés en taillant notre chemin dans la végétation très dense, qu’un long serpent noir a croisé notre route.
« Est-ce qu’on continue ? » ai-je demandé à Jean qui n’avait pas vu le serpent ?
« Non… ce n'est pas très raisonnable », a-t-il répondu.
Notre exploration s’est arrêtée là.
Courageux mais pas téméraires.

Dominique et moi avons souvent accompagné Jean qui était un grand marcheur. Il nous a aussi initiés à la voile sur le lac de Saint-Leu-d’Esserent.
Il adorait les bateaux.

Mais surtout, pendant des années, Jean et moi avons régulièrement pratiqué le tir à l'arc tant en entraînement qu’en compétition. Nous étions membres de la compagnie d’archers de Saint-Brice sous Forêt.
Nous n’étions pas des champions, mais nous tirions bien et nous prenions grand soin de notre matériel.
Jean était le sénior de la compagnie. Par tradition, tous les archers se tutoient, mais, nous qui étions de la même famille, nous étions les seuls à nous vouvoyer.
Je me souviens de l’un des comportements récurrents de Jean. Il n’était pas rare que des archers le félicitent pour certaines volées de flèches bien centrées. Avec cette espèce de modestie auto dévalorisante et amusée qui le caractérisait, Jean disait que c’était un effet du hasard et que ça n’allait pas durer. En fait, il était à la fois fier de l'intérêt qu'on lui portait mais en difficulté plus ou moins réelle face aux compliments… y compris pour complimenter en retour.
Discret, il ne voulait ni attirer l’attention ni gêner.

Pendant des années, Jean allait chercher son pain à Marly-la-Ville, dans le village voisin, (à deux pas d'ici).
Lors de ses marches boulangères, il avait sympathisé avec une corneille. Ils se reconnaissaient mutuellement et la corneille s'approchait même au plus près de Jean qui, au retour, partageait son pain avec ce copain. Jean était très fier de cette amitié et il aimait en parler.

Tout à l'heure, à quelques mètres du cimetière, j'ai entendu une conversation entre corneilles. L'une d'elles a croassé très clairement.
"Et les gars, Jean est revenu."

Jean, je vais vous laisser, je sais que vous êtes en bonne compagnie auprès de Marie et de vos amis les corneilles.

Bon voyage mon cher Jean.

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